31 octobre 2009
Avaler, avaler le ciel
La cruauté folle de la beauté soulignée d'un long trait de silence, elle descend dans la lumière du soir.
Chuchoter le secret de son nom dans ses cheveux.
Je me surprends à regarder les ombres comme si elle les voyait aussi: je les dessine, les noie sous l'aquarelle, les cherche sous l'encre brune: une curiosité allemande qui me fascine.
De là la souche.
De là ses doigts sur la bête.
Et le blanc qui s'étend au-delà.
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