http://www.rajahfoo.com

Nouvelle image au fond du blog...

http://www.rajahfoo.com

http://www.rajahfoo.com

Impatiences au scriptorium.

La perspective à nos fenêtres, essentielle au souffle, au silence.

Portrait d'un collectionneur magnifique, H-J D.

Il nous avait donné RdV au musée de l'érotisme à Paris. Une faveur. Un plaisir.

Travaux de Mappelthorpe exposés au grand palais à Paris. Une belle tragédie en noir et blanc, avec parfois un voile de soie sur le côté, superflux à mon avis.

A face, a cock, a flower

Je ne me suis pas rendu compte à quel point la publicité peut être envahissante: j'utilise le ADB ad block pLus sur mon navigateur Firefox, et ne subis donc pas ce flux d'images aléatoires, mal maîtrisé... Je m'en excuse et cherche une solution plus satisfaisante pour montrer mon travail.

Patience.

En attendant, quelques images flottantes et fixes, à la fois.

Le provisoire suspendu, dans lequel faire son éducation.

Le champ est large, la perspective circonspecte, et l'ouverture circonstancielle.

Au vu des allures du ciel contemporain, je trouve l'horizon étroit.

"La Compagnie s'est constituée en 1957. Ses membres, deux fois l'an, venaient masqués, dans la clairière de V..., pour recevoir quelques invités: des couples le plus souvent. C'est là qu'elle conduisait son amant.

- Là qu'elle entendait son vrai nom, n'est-ce pas ?

- Oui... Excusez-moi, on m'appelle."

Vous voyez certainement mes dessins cernés de publicité si vous n'avez pas ajouté à votre navigateur de "adds-on" sur votre navigateur.C'est d'une ironie dont il me faut bien sourire.

Volée de vent vert, pluie froide comme des gifles le parebrise, ce voyage au Nord restera mémorable.

Nous y avons pris un peu de soleil sous le ciel flamand de la grand place. C'était délicieux.

Le temps, cette dimension effrayante que partage la musique et le cinéma, que ce soit en clé de fa ou de sol, en couleur ou non, est un élément qui ne se manifeste plus aux yeux de celui qui considère un dessin. (Le dessin animé, de ce point de vu, est une aventure excentrique qui souligne ce constat d'immobilité.) Le dessin est figé, suspendu dans le regard de celui qui s'y absorbe.

Du temps pris pour dessiner ne reste que cette stupeur graphique.

De l'étonnement parfois.

Comme un souvenir qui resurgirait, improbable, dans le silence.

Il est question d'une exposition à Besançon, en novembre. Des payasages, des sujets moins en marge, des images plus sages ou qui soignent plus les apprences. Je vous en dirai plus le moment venu, si la curiosisté vous pique.

Marée d'images immense, ancienne et toujours plus ample : ceux qui analyserons nos traces, notre poussière, ces archéologues futurs, quelle nouvelle image tireront-ils de nous?

De cette marée d'images, se dégagera-t'il un portrait de nous. Ce qui fait notre humanité sera-t-il perceptible?

Justement, cette humanité, quelle couleur aura-t-elle à leurs yeux?